C’est souvent la solution la plus efficace, y compris pour les courtiers spécialisés. Si la banque émet des réserves sur le choix d’une délégation d’assurance lors de la souscription du crédit, vous pouvez toujours souscrire l’assurance habitation, afin de ne pas retarder l’achat, pour ensuite faire jouer la loi Hamon.
En effet, depuis 2014, vous pouvez substituer votre assurance par le contrat pendant un délai d’un an à partir de la signature de l’offre de prêt.
Si votre contrat alternatif présente des garanties équivalentes à celle de la banque, celle-ci ne peut pas s’opposer à l’opération. Cette solution offre l’avantage de laisser du temps supplémentaire au client pour sonder le marché et trouvez le contrat le moins cher. Mais elle n’est pas non plus idéale, certains emprunteurs n’étant pas plus informés de leur droit pendant l’année suivant la signature du prêt que lors de la souscription.
« On peut dire que le régime Hamon a été mis en place parce que la loi Lagarde ne fonctionnait pas. Ainsi, le client Cours à chaque fois après le non respect de la loi précédente ».
